03/12/2009

Mary Ann Shaffer, Le cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates

Roman
Résumé FNAC : Janvier 1946. Tandis que Londres se relève douloureusement de la guerre, Juliet, jeune écrivain, cherche un sujet de roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d'un inconnu, natif de l'île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil des lettres qu'elle échange avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre son monde et celui de ses amis : un étrange club de lecture inventé pour tromper l'occupant allemand, le « Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates »… Aussi fantasque que son titre, drôle, tendre et incroyablement attachant : un premier roman comme on en a pas vu depuis longtemps et qu'on a hâte de passer de main en main.


AUTEUR(S) : Mary Ann Shaffer est née en 1934 en Virginie-Occidentale. C'est lors d'un séjour à Londres, en 1976, qu'elle commence à s'intéresser à Guernesey. Sur un coup de tête, elle prend l'avion pour gagner cette petite île oubliée où elle reste coincée à cause d'un épais brouillard. Elle se plonge alors dans un ouvrage sur Jersey qu'elle dévore : ainsi naît fascination pour les îles anglo-normandes. Des années plus tard, encouragée à écrire un livre par son propre cercle littéraire, Mary Ann Shaffer pense naturellement à Guernesey. Le Cercle littéraire des amateurs d'épluchures de patates est son premier roman, écrit avec sa nièce, Annie Barrows, elle-même auteur de livres pour enfants. Mary Ann Shaffer est malheureusement décédée en février 2008 – peu de temps après avoir su que son livre allait être publié et traduit en plusieurs langues.

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1 commentaire:

Anonyme a dit…

Je sais que je suis difficile,mais j'ai trouvé ce livre désespérant de platitude, de lieux communs (ah! la jolie fin avec la belle histoire d'amooour...)et très mal écrit. Cela ne semble choquer personne que tous les personnages aient le même style (ou absence de style) d'écriture.
J'ai accroché à un moment, avec l'évocation de la vie sous l'occupation, et le personnage d'Elisabeth, mais la fin m'a presque fait jeter le livre aux toilettes (il faut dire que j'ai terminé la lecture sur le cuvette!)
Sans rancune, Clo