16/03/2011

Carlos Ruiz Zafón, Marina

MARINA
Editions Pocket Jeunesse, Paris 2011

Oscar Drai, quinze ans, a disparu pendant une semaine du pensionnat où il est interne. Où est-il allé et que lui est-il arrivé ? Quand l’histoire commence, Oscar vagabonde à travers Barcelone. Attiré par une mystérieuse maison apparemment abandonnée, il pénètre à l’intérieur. Se croyant seul, il commence ses investigations. Alors qu’il est en train d’examiner une curieuse montre à gousset laissée sur une table, il se rend compte que quelqu’un l’observe. Terrorisé, il s'enfuit. En rentrant au pensionnat, il s’aperçoit qu’il a gardé la montre. Tenaillé par les remords, il retourne quelques jours plus tard dans la grande maison. Il y fait alors la connaissance de Marina, fille du propriétaire. Elle a son âge, de l’audace et une intelligence très vive. Elle entraîne son nouveau compagnon dans l’élucidation d’un mystère qui la tourmente : au cœur du plus vieux cimetière de Barcelone, une vieille femme voilée visite une tombe anonyme sur laquelle figure le dessin d’un papillon noir. Qui est-elle, et qui dort sous la pierre tombale ? En menant leur enquête, les deux adolescents franchissent les limites d’une propriété privée délaissée. Dans la serre qui la jouxte, des pantins en partie amputés de leurs membres pendent dans les airs. Soudain, ils descendent lentement et semblent s’animer. Une odeur pestilentielle envahit la serre… Sur le fronton, un papillon noir identique à celui de la tombe paraît contempler l’épouvantable scène.

« Mon texte préféré parmi tous ceux que j’ai écrit. » Carlos Ruiz Zafón
Présente-t-on encore Carlos Ruiz Zafón, l’auteur de L’Ombre du vent (Grasset, 2004 ; Livre de poche, 2010) et du Jeu de l’ange (Robert Laffont, 2009), vendus à plusieurs millions d’exemplaires à travers le monde. Né à Barcelone en 1964, il a renouvelé le genre des grands romans populaires du début du XXe siècle.
REVUE DE PRESSE (FNAC)

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